latrines létales en fa mineur - by ankaa... :-s
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latrines létales en fa mineur - by ankaa... :-s
bon je mets le texte tout de suite et les images quand j'aurais trouvé un scan...
donc...
Latrines létales en fa mineur.
Encore des cris, puis ils vont decrescendo. Elle se calme enfin. Je secoue la tête de dépit. Elle ne comprendra jamais. Les cris ne servent à rien à part à exaspérer encore plus. J’exècre cette bonne femme…
La porte claque : elle est partie. Bon débarras ! Les femmes sont toutes pareilles, les pires maladies qui existent au monde !... mais je dois avouer qu’elles ont aussi quelques… avantages… enfin, si vous êtes un homme vous comprenez ce que je veux dire… Bon, maintenant qu’elle est partie, il ne passera plus rien d’intéressant. J’allume la chaîne hi-fi et mets « les Saisons » de Haydn. Je baisse le son pour entendre cette virago revenir.
Ex abrupto elle entre dans l’appartement en enfonçant pour ainsi dire la porte. Et le hourvari reprend de plus bel. C’est toujours, ou presque, le même leitmotiv. C’en est navrant… Leurs algarades ne cesseront donc jamais…
Plus tard, au dîner (servi par madame mais acheté déjà préparé chez le traiteur), elle parle, sans discontinuer. Et son monologue est inénarrable.
Ses diatribes deviennent de plus en plus affligeantes, à mesure que le temps passe. Elle doit se fatiguer. Pourtant elle paraît toujours croire que ce sont les traits d’esprit les plus remarquables au monde. Mais ses lazzis sont pitoyables… un cochon !... manger dans une mangeoire !... Ridicule ! Le mauvais goût est la quintessence de la personnalité de cette gale. Comment est-il possible d’exister avec un intellect aussi lacunaire ?
Elle se croit la sommité de l’immeuble, et pourquoi pas du quartier qui sait ! Sa mesquinerie n’a d’égale que sa sottise. Lorsque je la croise, elle affiche son air infatué et passe sans me prêter la moindre attention. Son outrecuidance m’horripile. Ah ! Vanité, vanité !…
Un jour je l’ai suivie dans ses déambulations matinales. Elle achetait à l’excès. Elle regardait attentivement les étiquettes des prix et les comparait pour être sûre d’acheter le plus cher, des choses dont elle n’aurait probablement jamais l’utilité.
En sortant d’un des innombrables magasins où elle avait une fois de plus acheté le plus dispendieux des produits de luxe, un vieillard l’interpella pour lui demander un sou pour avoir de quoi s’acheter de quoi subsister. Affichant son air régalien, elle l’ignora superbement
Un tel manque de munificence reste abscons pour moi. Elle se ruine en lllll en tout genre, alors que de pauvres gens sont transis de froid sur les trottoirs. De plus, c’est sont mari qu’elle ruine, car elle ne travaille pas. Ces foucades risquent de le dépouiller tout à fait.
« C’était une femme dure, monsieur le commissaire, mais elle avait du goût en matière de littérature et de musique, à la différence de Louis… »
Elle rentra en courant presque. Une envie pressante la tenaillait depuis quelques minutes.
Elle claqua la porte sans fermer à clé et laissa tomber son fardeau pour se précipiter dans les toilettes. Elle laissa tomber son pantalon de grand couturier sur ses chevilles et s’assit sur le trône…
Louis était content de lui. Il avait toujours été doué de ses mains. Ç’avait été fastoche en plus avec l’intello du dessus. Son coup de main avait été utile.
Il avait un peu la gorge serrée et ça lui faisait mal au creux du ventre ; il appréhendait un peu ce qui allait se passer. Il risquait de se faire choper. Et s’il se faisait choper, ça allait barder ! Il serait dans la mouise jusqu’au coup…
Il pris une bouffée de sa clope déjà à moitié consumée, ce qui eut comme effet immédiat de le détendre un peu. Il resterait toujours ces petits plaisirs. Un paquet de clopes, un verre de gnaule et une bande de potes, voilà tout ce qu’il fallait pour remonter le moral…
…Une fois que ce serait fait, il irait se noyer dans l’alcool dans l’atmosphère enfumée d’un bistrot avec ses copains qui brailleraient comme des joyeux lurons.
Il fignola son petit bébé, arrangea les fils de sorte qu’ils ne se voient pas et sortit de la pièce exiguë. Il alla rejoindre Philibert dans son appart’, l’étage au dessus.
Ce dernier avait installé dans l’appart’ de Louis plein de machins, genre mini caméras qu’on voit pas. Et puis y’avait les p’tits trous un peu partout dans le plancher. Comme ça, il pouvait les voir, le voisin… enfin… il pouvait mater sa femme ! C’est vrai qu’elle est plutôt bonne, elle vieillit bien, c’est pas comme lui.
Il entra dans son appart’ sans frapper, c’est qu’ils se connaissaient bien les deux là, depuis le temps qu’ils vivaient dans le même immeuble. Ils se croisaient tous les jours et puis après s’être dit bonjour, bah, ils ont commencés à causer un peu. Et c’est pas parce que son voisin était un intello de la haute que Louis, il ne s’entendait pas bien avec lui, bien au contraire. Alors quand il avait vu comment cette garce le traitait, il a voulu l’aider. Il a voulu éliminer le problème pour de bon…
Dans la pièce du fond il y avait une sorte de Q.G. avec des écrans de contrôle et tout, comme dans les films. Le top du top. Faut dire, il a les moyens, le Philibert, avec sa grand-mère et puis sa tante et d’autres encore, enfin bref, il a touché pas mal d’héritages.
Y’avait des télés jusqu’au plafond. Toutes les pièces de l’appart’ du dessous y étaient, y’en manquait pas une. On pouvait même les voir de différents angles. On a attendu que l’autre teigne revienne en buvant une bouteille de la réserve perso de Phil. Louis aurait préféré une mousse, ou un tord-boyaux vu la situation, mais il allait pas faire le difficile quand même, c’est Phil qui régale alors…
Un mouvement sur un écran capta l’attention de Louis. On voyait sa femme dans l’entrée en train de jeter une foultitude de sacs parterre et de courir aux toilettes. Elle avait l’air d’avoir une grosse envie !
Le spectacle allait commencer…
Il réprima une envie de se cacher les yeux venue du fond de ce qu’il lui restait de conscience et regarda fixement l’image où l’on voyait llllll baisser son froc et s’asseoir sur « le captieux appareil » comme disait Philibert.
J’arrête finalement l’alimentation électrique et le morceau de chair sans vie et informe choit sur le carrelage bleu. Sur le bas du dos et les fesses s’étale une brûlure écoeurante.
Maintenant tout est fini.
J’ai rempli ma mission. Un mari a tué sa femme, j’ai réussi à faire d’un homme banal et insignifiant un assassin sans scrupules. Mais il y a plein d’autres à convertir. Je ne m’arrêterais pas. Pas avant que le monde soit à feu et à sang.
J’aime le sang.
J’espère qu’il y en aura beaucoup…
donc...
Latrines létales en fa mineur.
Encore des cris, puis ils vont decrescendo. Elle se calme enfin. Je secoue la tête de dépit. Elle ne comprendra jamais. Les cris ne servent à rien à part à exaspérer encore plus. J’exècre cette bonne femme…
La porte claque : elle est partie. Bon débarras ! Les femmes sont toutes pareilles, les pires maladies qui existent au monde !... mais je dois avouer qu’elles ont aussi quelques… avantages… enfin, si vous êtes un homme vous comprenez ce que je veux dire… Bon, maintenant qu’elle est partie, il ne passera plus rien d’intéressant. J’allume la chaîne hi-fi et mets « les Saisons » de Haydn. Je baisse le son pour entendre cette virago revenir.
Ex abrupto elle entre dans l’appartement en enfonçant pour ainsi dire la porte. Et le hourvari reprend de plus bel. C’est toujours, ou presque, le même leitmotiv. C’en est navrant… Leurs algarades ne cesseront donc jamais…
Plus tard, au dîner (servi par madame mais acheté déjà préparé chez le traiteur), elle parle, sans discontinuer. Et son monologue est inénarrable.
Ses diatribes deviennent de plus en plus affligeantes, à mesure que le temps passe. Elle doit se fatiguer. Pourtant elle paraît toujours croire que ce sont les traits d’esprit les plus remarquables au monde. Mais ses lazzis sont pitoyables… un cochon !... manger dans une mangeoire !... Ridicule ! Le mauvais goût est la quintessence de la personnalité de cette gale. Comment est-il possible d’exister avec un intellect aussi lacunaire ?
Elle se croit la sommité de l’immeuble, et pourquoi pas du quartier qui sait ! Sa mesquinerie n’a d’égale que sa sottise. Lorsque je la croise, elle affiche son air infatué et passe sans me prêter la moindre attention. Son outrecuidance m’horripile. Ah ! Vanité, vanité !…
Un jour je l’ai suivie dans ses déambulations matinales. Elle achetait à l’excès. Elle regardait attentivement les étiquettes des prix et les comparait pour être sûre d’acheter le plus cher, des choses dont elle n’aurait probablement jamais l’utilité.
En sortant d’un des innombrables magasins où elle avait une fois de plus acheté le plus dispendieux des produits de luxe, un vieillard l’interpella pour lui demander un sou pour avoir de quoi s’acheter de quoi subsister. Affichant son air régalien, elle l’ignora superbement
Un tel manque de munificence reste abscons pour moi. Elle se ruine en lllll en tout genre, alors que de pauvres gens sont transis de froid sur les trottoirs. De plus, c’est sont mari qu’elle ruine, car elle ne travaille pas. Ces foucades risquent de le dépouiller tout à fait.
« C’était une femme dure, monsieur le commissaire, mais elle avait du goût en matière de littérature et de musique, à la différence de Louis… »
*
Mme Jean-Lecloître-Dugallet sortit du magasin, embarrassée par ses paquets. Elle regarda sur le trottoir, mais le vieux SDF n’était pas là. La semaine précédente, elle n’avait plus de monnaie et s’était jurée qu’elle lui donnerait quelques pièces la prochaine fois qu’elle passerait. Tant pis pour lui ! Elle n’allait pas lui courir après, tout de même ! Elle rentra en courant presque. Une envie pressante la tenaillait depuis quelques minutes.
Elle claqua la porte sans fermer à clé et laissa tomber son fardeau pour se précipiter dans les toilettes. Elle laissa tomber son pantalon de grand couturier sur ses chevilles et s’assit sur le trône…
*
L’engin était plutôt ingénieux.Louis était content de lui. Il avait toujours été doué de ses mains. Ç’avait été fastoche en plus avec l’intello du dessus. Son coup de main avait été utile.
Il avait un peu la gorge serrée et ça lui faisait mal au creux du ventre ; il appréhendait un peu ce qui allait se passer. Il risquait de se faire choper. Et s’il se faisait choper, ça allait barder ! Il serait dans la mouise jusqu’au coup…
Il pris une bouffée de sa clope déjà à moitié consumée, ce qui eut comme effet immédiat de le détendre un peu. Il resterait toujours ces petits plaisirs. Un paquet de clopes, un verre de gnaule et une bande de potes, voilà tout ce qu’il fallait pour remonter le moral…
…Une fois que ce serait fait, il irait se noyer dans l’alcool dans l’atmosphère enfumée d’un bistrot avec ses copains qui brailleraient comme des joyeux lurons.
Il fignola son petit bébé, arrangea les fils de sorte qu’ils ne se voient pas et sortit de la pièce exiguë. Il alla rejoindre Philibert dans son appart’, l’étage au dessus.
Ce dernier avait installé dans l’appart’ de Louis plein de machins, genre mini caméras qu’on voit pas. Et puis y’avait les p’tits trous un peu partout dans le plancher. Comme ça, il pouvait les voir, le voisin… enfin… il pouvait mater sa femme ! C’est vrai qu’elle est plutôt bonne, elle vieillit bien, c’est pas comme lui.
Il entra dans son appart’ sans frapper, c’est qu’ils se connaissaient bien les deux là, depuis le temps qu’ils vivaient dans le même immeuble. Ils se croisaient tous les jours et puis après s’être dit bonjour, bah, ils ont commencés à causer un peu. Et c’est pas parce que son voisin était un intello de la haute que Louis, il ne s’entendait pas bien avec lui, bien au contraire. Alors quand il avait vu comment cette garce le traitait, il a voulu l’aider. Il a voulu éliminer le problème pour de bon…
Dans la pièce du fond il y avait une sorte de Q.G. avec des écrans de contrôle et tout, comme dans les films. Le top du top. Faut dire, il a les moyens, le Philibert, avec sa grand-mère et puis sa tante et d’autres encore, enfin bref, il a touché pas mal d’héritages.
Y’avait des télés jusqu’au plafond. Toutes les pièces de l’appart’ du dessous y étaient, y’en manquait pas une. On pouvait même les voir de différents angles. On a attendu que l’autre teigne revienne en buvant une bouteille de la réserve perso de Phil. Louis aurait préféré une mousse, ou un tord-boyaux vu la situation, mais il allait pas faire le difficile quand même, c’est Phil qui régale alors…
Un mouvement sur un écran capta l’attention de Louis. On voyait sa femme dans l’entrée en train de jeter une foultitude de sacs parterre et de courir aux toilettes. Elle avait l’air d’avoir une grosse envie !
Le spectacle allait commencer…
Il réprima une envie de se cacher les yeux venue du fond de ce qu’il lui restait de conscience et regarda fixement l’image où l’on voyait llllll baisser son froc et s’asseoir sur « le captieux appareil » comme disait Philibert.
*
Et là, spectacle macabre et fascinant à la fois, le corps se met à tressaillir et semble n’être qu’une grotesque imitation de pantin, les yeux se révulsent, de l’écume ruisselle sur le menton… J’arrête finalement l’alimentation électrique et le morceau de chair sans vie et informe choit sur le carrelage bleu. Sur le bas du dos et les fesses s’étale une brûlure écoeurante.
Maintenant tout est fini.
J’ai rempli ma mission. Un mari a tué sa femme, j’ai réussi à faire d’un homme banal et insignifiant un assassin sans scrupules. Mais il y a plein d’autres à convertir. Je ne m’arrêterais pas. Pas avant que le monde soit à feu et à sang.
J’aime le sang.
J’espère qu’il y en aura beaucoup…
Invité- Invité
Re: latrines létales en fa mineur - by ankaa... :-s
C'est macabre pour bien résumer...
Mais j'aime beaucoup, tout se relie à la fin comme dans les thrillers.
Tu as du vocabulaire dis donc, tu emploie pas mal de mots tels que "abscons", "diatribe", "algarade"... que je ne connaissais pas du tout!!
C'est bien narré, bravo Ankaa!!!!
Mais je me demande ce que ça va être les images, pas sure de vouloir les voir lol....
Mais j'aime beaucoup, tout se relie à la fin comme dans les thrillers.
Tu as du vocabulaire dis donc, tu emploie pas mal de mots tels que "abscons", "diatribe", "algarade"... que je ne connaissais pas du tout!!
C'est bien narré, bravo Ankaa!!!!
Mais je me demande ce que ça va être les images, pas sure de vouloir les voir lol....
Invité- Invité
Re: latrines létales en fa mineur - by ankaa... :-s
ouahhhh!!! super!!!! franchement j'aime beaucoup la fin fascinant et inquiétant à la fois!!!! bravo! mais maintenant on attend les images...^^
Invité- Invité
Re: latrines létales en fa mineur - by ankaa... :-s
Ce que tu as fait a l'air pas mal, mais je n'ai pas tout lu en entier , des le début il y aavit de trop nombreux mot que je ne comprend pas ^^
Etant donné que je fais parti du jury je le lirai en entier et avec un dictionnaire le moment venu
Etant donné que je fais parti du jury je le lirai en entier et avec un dictionnaire le moment venu
SaM06- Administrateur
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Localisation : Alpes-Maritimes
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Date d'inscription : 12/07/2006
Re: latrines létales en fa mineur - by ankaa... :-s
J'étais dans le même cas que toi Sam alors je te conseille pour rester sur ton ordi le temps de la lecture d'aller sur http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/exister/
Comme ça tu cherches hyper vite
Comme ça tu cherches hyper vite
Invité- Invité
Re: latrines létales en fa mineur - by ankaa... :-s
désolée... je devais utiliser un vocabulaire recherché et varié pour ce personnage... je sais que certaines personnes en sont gênées, donc encore une fois mea culpa...
pour les images je sens que je vais faire un montage avec paint... vu que je trouve pas de scan... :-s
pour les images je sens que je vais faire un montage avec paint... vu que je trouve pas de scan... :-s
Invité- Invité
Re: latrines létales en fa mineur - by ankaa... :-s
On dirait SAW!
C'est trop bien la fin même si la façon de mourir de la femme...bon c'est pas très honorable
Je bcp aimé, même si je ne comprends pas tout les mots . Mais ça fait varier l'histoire, les points de vue et tout ça
C'est trop bien la fin même si la façon de mourir de la femme...bon c'est pas très honorable
Je bcp aimé, même si je ne comprends pas tout les mots . Mais ça fait varier l'histoire, les points de vue et tout ça
Invité- Invité
Re: latrines létales en fa mineur - by ankaa... :-s
Wouah, bien joué !
Je dois avouer que j'ai eu du mal a comprendre certains mos moi aussi, mais c'est bien, ça va bien avec l'histoire^^
Dis donc, ça a du te prendre du temps pour faire ça, on sent qui a du travail !
Super Ankaa !
Je dois avouer que j'ai eu du mal a comprendre certains mos moi aussi, mais c'est bien, ça va bien avec l'histoire^^
Dis donc, ça a du te prendre du temps pour faire ça, on sent qui a du travail !
Super Ankaa !
Tily- Trou noir
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Age : 33
Localisation : Les pieds en Dordogne, la tête dans les étoiles.
Occupation et loisirs : Astronomie, photographie, ordi, and Cie
Matériel : Skywatcher 114/900
Date d'inscription : 13/05/2007
Re: latrines létales en fa mineur - by ankaa... :-s
du temps? heu... non pas trop...
enfin oui plus que la plupart de mes camarades (c'était à la base un devoir d'expression écrite) et là où certains ont passé une demi-heure (sisi !...) moi j'y ai passé une journée (je crois...)
mais bon ça a passé vite car je me suis bien amusée en imaginant ces persos un peu fous.
enfin oui plus que la plupart de mes camarades (c'était à la base un devoir d'expression écrite) et là où certains ont passé une demi-heure (sisi !...) moi j'y ai passé une journée (je crois...)
mais bon ça a passé vite car je me suis bien amusée en imaginant ces persos un peu fous.
Invité- Invité
Re: latrines létales en fa mineur - by ankaa... :-s
Bah c'est bien réussit je trouve^^
Tily- Trou noir
- Nombre de messages : 815
Age : 33
Localisation : Les pieds en Dordogne, la tête dans les étoiles.
Occupation et loisirs : Astronomie, photographie, ordi, and Cie
Matériel : Skywatcher 114/900
Date d'inscription : 13/05/2007
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